jeudi 9 juillet 2015

Libérez nos camarades


Voilà,
tout à l'heure après avoir assisté à la cinémathèque à une très désagréable projection de "Une histoire immortelle" d'Orson Welles (la copie était très mauvaise, couleurs passées et sautes de son) je suis rentré par la rue Daguerre où j'ai croisé Daniel Cohn-Bendit avec son éternel T-Shirt sous sa chemise. Détail amusant, dans l'après-midi en triant des photos, j'étais tombé par hasard sur celle-ci, prise à Lisbonne (une si belle ville, où a été signé un traité stupide et antidémocratique) et la première phrase qui m'était alors venue à l'esprit avait été "Libérez nos camarades", comme l'on disait autrefois en 68, quand Cohn-Bendit était alors un jeune révolutionnaire.

5 commentaires:

  1. Sugerente fotografía...me gusta!!!

    Un abrazo, amigo!!! ;)

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  2. Par hasard, dis-tu. Tu crois vraiment au hasard ? C'est bizarre, si je ne meurs pas avant lui, j'irai à l'enterrement de Dany. Comme je suis allé à celui de de Gaulle alors que j'étais "gauchiste". Il y a peut-être chez moi une ardeur de la France-Allemagne donc de l'Europe. Rien à faire, il me rassure comme il a beaucoup inquiété jadis. Mais Dany n'est pas dans ta photo, je pense qu'il représente plutôt la "chiennerie" (en voc. gaulliste : la "chienlie").
    Et dans ta photo je retrouve les miens : les chats, la jouissance d'être devant ou derrière le rideau. Bien, ça , le rideau. Contrairement aux portes, notre cauchemar : c'est soit ouvert soit fermé. Eh, un lynx est un grand chat. On a trop parlé de Cohn-Bendit, je le griffe soudain et sans raison objective. Toi non. Ronron.

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  3. Mais là, bien sûr. Même après ce que tu m'as déconseillé. Evidemment, kwarkito.

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