Voilà,
dans le petit matin, longtemps elle marche dans un parc inachevé. Elle finit par trouver, à proximité d'un homme indifférent qui lit son journal, un banc sur lequel elle s'assied. Et elle pleure. Beaucoup. Encore et encore. Sans savoir exactement pourquoi. Si sa voiture avait démarré, peut-être ce jour aurait-il été semblable à tous les précédents. Non loin, les ombres de la cinémathèque glissent, indécises, dans le mirage d'une nuit américaine.
Lovely images-- the picture AND the words.
RépondreSupprimersuperbe l'image et le texte
RépondreSupprimer