Voilà,
depuis quelques semaines je ne peux m'empêcher de songer avec peine à qui vit désormais des jours éprouvants dans la proximité d'un être que le malheur a foudroyé. Je voudrais pourtant ne pas avoir à y penser. Les cicatrices n'ont pas apaisé toutes les blessures. Les regrets parfois rôdent encore. Comme des spectres. De ça non plus je ne veux pas.
Ta faculté d'empathie me touche, elle m'a d'ailleurs inspiré un texte ...
RépondreSupprimerMerci ... Hâte de lire ça...
RépondreSupprimerOh je ne sais si je le publierai, cela ressemblerait trop à un règlement de comptes ...
Supprimerje veux bien le lire tout de même (tu peux me l'envoyer sur mon adresse mail :-)
SupprimerJe le ferai même si mon texte me semble nul :-) J'aime laisser mûrir les textes, parfois ils n'arrivent jamais à maturité.
SupprimerConsidère le mien comme un brouillon !