Paris 14ème (1990) |
autant que la somme de tous ces hasards heureux ou malencontreux qui infléchissent le cours de la vie, nos existences sont aussi constituées de ces possibles que nous n'avons pas pu, pas su ou pas voulu investir en d'autres temps, et qui peut-être nous auraient fait différents.
Voilà
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec toi. Tu as lu La musique du hasard de Paul Auster?
Amicalement Dámaso
je me demande ce que sont devenus les lieux décrits par la photo.
RépondreSupprimerQuant au reste, le hasard dans une vie ne se présente qu'une seule fois sous un seul visage, alors les possibles qui ne sont plus des hasards serions les seuls à les gérer ?
Je regrette ce que je t'ai dit avant-hier. Nous sommedes gens sensibles. J'admire ton travail entre tous. Sinon, dis-moi, pourquoi me serais-je accroché à ce blog plus qu'à un autre ? Non, pas d'explication de texte, pitié ! Je maintiens (pour ne pas être plus fragile que toi), oui je maintiens ce que je voulais te dire. Que c'est beau, que j'ai été bouleversé. Je suis très peu visuel (c'est peu dire) et ton texte m'a complètement accroché. Je suis mauvais en arts plastiques. Bon, ce qui m'accroche, chez toi, c'est cet art impeccable d'associer si régulièrement image singulière et texte singulier, avec une exactitude que tous ceux qui te suivent, je pense, appellent un art. Bien à toi. Et par exemple, ce que tu nous donnes là, aujourd'hui, ça me bouleverse et je ne sais pas en parler. "Voilà".
RépondreSupprimerJe ne vais pas tourner autour du pot, c'est d'la balle.
RépondreSupprimerEt comme Alen Leoz, je te trouve très beau.
lidia
"image singulière et texte singulier,...ce que tu nous donnes là, aujourd'hui, [...] me bouleverse et je ne sais pas en parler. "Voilà"
RépondreSupprimeron ne saurait dire mieux