Voilà,
un cafard immense dessiné sur l'asphalte et tout à coup revient le sourire ; un instant j'oublie cet autre bestiole qui de songes en pensées sans cesse en moi cancrelate et crapahute graisse le jour d'un gris vieux et fait de ma raison sa maison. Merci à toi le dessinateur anonyme, merci à toi pour ce trait joyeux qui croque l'insecte et mange l'angoisse, oui merci pour l'allégresse retrouvée.
Gracieux et utile cafard, bonne manière de commencer la semaine.
RépondreSupprimerAmicalement, Dámaso
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:-) ça fait du bien.
RépondreSupprimerMuy buena, ¡si!.., el diseño es guay!!!, y lo mas difícil;
RépondreSupprimerver la foto al instante, y fotografiarla.
Un saludo, Ángel