Voilà,
une fois compris que la situation ne se stabiliserait pas avant six mois et que d'ici là ça serait très dur de tenir, il y eut comme un léger vertige et une sorte d'étourdissement. C'était tout de même bien inconséquent de venir prendre un café dans ces murs. On a beau essayer d'être optimiste, parfois ça frôle l'inconscience. C'est qui déjà qui a dit "le réel c'est quand on se cogne" ?
si mon blog est de qualité le votre l'est tout autant!!
RépondreSupprimerje vous souhaite bon courage , il m'en faut tout autant pour 2014...
merci d'être passé.
Jorge
désolé pour la redondance...pas bien réveillé puis plus de clopes..
RépondreSupprimermes amitiés
Muy interesantes las fotos cubistas, y esta ultima
RépondreSupprimeres buenísima, los textos como siempre muy buenos.
Un saludo, Ángel
Moi aussi, je te souhaite bon courage.
RépondreSupprimerAmicalement, Dámaso
6 mois … une goutte d'éternité
RépondreSupprimerqui passe comme un courant d'air
… en évitant de se cogner
et de suivre Lacan !