samedi 28 avril 2012

Chanter dans le vent glacé

Le commerce de l'eau
Voilà,
il pleut presque tous les jours depuis trois semaines. Quand il ne pleut pas, il fait froid, il y a du vent des nuages et le soleil est rare. Ça, la campagne électorale nauséabonde, les contrariétés de la vie quotidienne (celle entre autre ne plus pouvoir se chauffer), les perspectives guère réjouissantes engendrées par la crise financière et les désastres industriels et écologiques que l'on ne pourra plus dissimuler très longtemps, tout cela rend maussade et mélancolique. Pourtant j'entends un oiseau chanter au dehors. Comme s'il chantait obstinément envers et contre tout. Bien sûr je prête à ce volatile des intentions qu'il n'a probablement pas. Hier dans le bus, passant non loin de la rue Christine j'ai repensé à une certain moment sous une porte cochère et à ce mail reçu quelques heures après, avec en pièce jointe une chanson qu'alors je ne connaissais pas. C'était au temps des brioches tressées de la rue Caulaincourt. Maintenant voici venu celui des brioches stressantes du franprix du coin.
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