Voilà,
en rêve cette nuit je suis revenu là dans la lumière d'un grand midi. J'étais comme dissocié de moi. À peine quelqu'un. Je me voyais marcher ou plutôt voyais mon corps marcher comme s'il était l'autre de moi-même - ce qu'il est d'ailleurs en réalité -. Je me demandais combien de temps encore il pourrait aller celui-là, seul par les chemins. Je n'éprouvais cependant aucune inquiétude, juste une petite gêne à cause de cette pente à gravir et d'un petit caillou dans ma chaussure. Mais au bout de la ruelle je trouverais mon "salut" de cela j'étais persuadé. Peut-être même supposé-je alors, ce petit désagrément en était il la nécessaire condition. Une phrase tournait en rond dans ma tête : "le bonheur en toi ainsi que le printemps dans l'éclat du bourgeon". L'avais-je autrefois apprise ou bien inventée ? Je ne voulais surtout pas l'oublier. Les grillons chantaient tout près. Au loin les clochettes essaimaient leurs tintements.
Siempre resulta placentero visitar tu blog, leer tus textos
RépondreSupprimerY disfrutar paseando por el.
Un saludo, Ángel
J'aimerai bien rêver comme ça!!!
RépondreSupprimerSaluts du sud.