Voilà,
sur un mur de l'hôpital St Louis, un artiste du nom de Pablo Savon a conçu cette fresque amusante à double titre. Elle fait référence à un célèbre tableau de Magritte et représente une feuille manuscrite indéchiffrable, comme le sont paraît-il la plupart des écritures de médecins, et s'appelle donc "ceci n'est pas une ordonnance". Je ne sais pas si cela fera rire les étudiants en médecine, réquisitionnés au titre de stagiaires pour intervenir dans les hôpitaux durant la pandémie, dans les conditions de sécurité que l'on sait, et qui vu les circonstances ont assumé plus de responsabilités et ont du être plus opérationnels que ce que supposait leur statut, tout cela pour la glorieuse rétribution de 200 euros mensuels. Ainsi vont les choses dans le meilleurs des mondes possibles. (Linked with Monday murals)
Hurrah for Magritte! I love those works. So many seem to represent the current surreal nature of reality.
RépondreSupprimerbe well... mae at maefood.blogspot.com
Not a prescription sounds funny to me. I have never seen a doctor who could write well. In the states, medical doctors who would graduate this spring in New York City were told they could become doctors immediately if they signed up to work COVID cases. Many did and graduated early (like late March). Now they are all in quarantine and have graduated with honors. So sad how our first responders are being treated.
RépondreSupprimerHooray.
RépondreSupprimerLooks like a Drs handwriting for sure :)
RépondreSupprimerWow, poor trainee doctors just earning 200 euros a month! What a rip-off.
Thanks for contributing Kwarkito.
Bonne trouvaille. Cela me rappelle les ordonnances d'antan, avant que les médecins ne passent le plus clair de leurs auscultations à ausculter leur PC. Le signataire a trouvé de son côté le pseudo idéal en temps de pandémie, qui aura peut-être enseigné aux Français à devenir plus propres. Pour info, certes anecdotique, au Brésil les Français ont la réputation d'être les plus dégueulasses au monde. Je parle bien sûr du Brésil d'avant Bozo, comme on dit là-bas.
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