Voilà,
cet après-midi j'ai vu l'exposition des photos qu'Agnès Varda avait faites lors d'un séjour à Cuba en 1963, ainsi que celle, magnifique, consacrée à Wifredo Lam et, au cabinet graphique du Musée d'Art moderne, les œuvres sur papier de Dieter Appel. Je pourrais rester des heures dans les musées. Autrefois je m'y sentais en sécurité. Mais depuis la tuerie du Bardo à Tunis en mars dernier, je ne peux m'empêcher de penser que des crétins décérébrés, peuvent à n'importe quel moment surgir dans de tels endroits, simplement parce qu'ils exècrent tout ce qui ne leur ressemble pas et qu'ils ne comprennent pas. L'exposition sur Cuba, évoque une époque chargée d'espoirs et de croyances en un monde meilleur et une grande joie se dégage de ces images du socialisme tropical. Pourtant je me souviens qu'à l'époque les gens craignaient une guerre nucléaire et que Bob Dylan chantait "A hard rain's A-gonna fall". (Linked with the weekend in black and white
It was a frightening time my friend. But I can certainly understand the hopefulness of the Cubans--- having gotten rid of a mob-controlled dictator. I wonder how differently things would have worked out had Castro not agreed to the Russian missiles. I guess we'll never know. I suspect I'd enjoy seeing this exhibit very much.
RépondreSupprimerBrilliant photo! However bad things seem, darkness makes the light brighter.
RépondreSupprimerA great shot, Arnaud. I'd have loved to see the Cuba exhibition.
RépondreSupprimergreat photo!!! das ist bestimmt eine interessante Ausstellung!
RépondreSupprimerNot lucky enough to be able to visit the exhibition but searched online to find out as much as I could although is not really the same. But do remember the silence in my city at the time waiting to find out whether war will break out.
RépondreSupprimer...in the shadows.
RépondreSupprimerAmazing shot
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