pendant quelques étés, le passage de l'estuaire marquait vraiment le commencement des vacances. Cette année sur la rive droite il y avait eu ce navire comme figé dans la lumière d'un petit matin augurant d'une chaude journée. Ça je m'en souviens très bien. Mais, je ne sais plus si c'est la fois où, n'ayant pas réservé d'hôtel il avait fallu dormir dans la voiture, ou lors d'un autre été. L'estuaire.... Y retournerai-je au moins ? J'aimerais pourtant bien me promener sur ses îles, y faire quelques photos. Aux beaux jours. Juste ça. Mais Paris où il fait encore si froid, comme la Prague de Kafka "est une petite mère qui ne vous lâche pas". Et puis il y a ça aussi, comme dans le refrain de "The Changeling" des Doors "I've never been so broke that I couldn't leave town"
Un blog écrit en français, avec des photos des collages des dessins, des créations digitales, des récits de rêves, des chroniques des microfictions et encore bien d'autres bizarreries... A blog written in french with photos, collages, drawings, digital paintings, dream stories, chronicles, microfictions and a few other oddities.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Publications les plus consultėes cette année
-
Voilà, sans raison particulière il était revenu dans ce quartier de Morlante où il ne s'aventurait que très rarement. Non qu'il y ...
-
Voilà, il y a des gens qui tentent parfois des choses fort audacieuses, voire téméraires et stupides peut-être dans le but de publier une &q...
-
V oilà continuer quand même, malgré tout, pour un temps encore celui de l'attente inquiète et de l'incertitude à produire des for...
-
Voilà, ces perspectives insolites parce qu'elles adviennent dans des lieux où l'on n'a pas coutume de se rendre. Ici, sur la pas...
-
Voilà d'après l'observatoire européen Copernicus, qui collecte et restitue des données de qualité portant sur l'état de la T...
-
Voilà, depuis longtemps, j'aime accoster à cet endroit, où tout ce qui s'y expose demeure une source d'étonnement. J'y ass...
-
Voilà il y a peu, j'ai entendu "Palais de Mari" que je ne connaissais pas. il s'agit d'une pièce pour piano de...
-
Voilà, l'austère géométrie de ces lieux, l'hiver, quand les arbres dénudés offrent le tracé rectiligne de leur cimes , m'a touj...
-
Voilà, c'est là dans le monde ça pourrait aussi bien ne pas être c'est insignifiant juste un détail mais ça s'introduit impéra...
-
Voilà, de plus en plus je suis sommé, par des questionnaires que je reçois dans ma messagerie internet, d'évaluer des chauffeurs...
De lugares, a veces degradados, vulgares, o hermosos, depende, logras con tus esplendidos textos y fotos, llevarnos a lugares de un tiempo sin tiempo. ¡Maravilloso!
RépondreSupprimerUn saludo, Ángel
Viens, je t'emmène...
RépondreSupprimeroui oui d'accord où tu veux
SupprimerVoilà ce que ton billet m'a suggéré:
RépondreSupprimerSe mece el barco, anclado en la isla neblinosa,
el Sol se pone, la preocupación del viajero surge.
En la vasta llanura, el cielo baja hasta los árboles,
en el río puro, la Luna se acerca al hombre.
Meng Hao-Ren
merci beaucoup pour ces vers et ce poète chinois que je ne connaissais pas. Tu es décidément une passeuse inépuisable en matière de poésie...
RépondreSupprimer