sculptures de Hugo Rondidone
Voilà
"Qui donc me sauvera d’exister ? Ce n’est pas la mort que je veux, ni la vie : mais cet autre-chose qui luit au fond de mon désir angoissé, comme un diamant imaginé au fond d’une caverne dans laquelle on ne peut descendre. C’est tout le poids, toute la douleur de cet univers réel et impossible, de ce ciel, étendard d’une armée inconnue, de ces toits pâlissant lentement dans un air fictif, où le croissant d’une lune imaginaire émerge dans une blancheur électrique et figée, découpé en bord lointains et insensibles.
C’est le manque immense d’un dieu véritable qui est ce cadavre vide, cadavre du ciel profond et de l’âme captive. Prison infinie – et parce que tu es infinie nulle part on ne peut te fuir !" Fernando Pessoa in "Le Livre de l'Intranquillité"
I love the sculptures - I saw them as playful and acrobatic but your words make them seem more like Icarus, falling from Heaven....#BlueMonday
RépondreSupprimerI found that quote a bit dark although perhaps it was the translation. The contrast of the sculptures against the dome, though - that makes for a stunning shot.
RépondreSupprimerThank you for sharing at http://image-in-ing.blogspot.com/2023/09/some-capital-photos.html
Unusual sculptures.
RépondreSupprimerThe sculptures do seem desperate for something ... maybe a net? A great Photograph any way you look at it. And I do feel the frustration of reaching for something special that is not reachable . Interesting post ... Hoping it is not a reflection of your current mood ...
RépondreSupprimerAndrea @ From the Sol