mardi 13 mars 2018

Près du champ de Courses



Voilà,
elle est revenue comme ça, la chanson. Bien sûr il n'y avait personne et je pouvais chanter tout seul à voix haute. Mais pourquoi précisément cette chanson. Était-ce à cause de la pluie froide et cinglante qui ressemblait à celle de New-York un lointain mois de février d'une certaine année du siècle dernier où je l'avais souvent fredonnée en errant très chagrin par un semblable temps de chien ?

2 commentaires:

  1. Why indeed Kwarkito! J'adore your tall winter trees reflected here! I am envious of your rain.. the grass is always greener oui 😀

    RépondreSupprimer
  2. Nous sortons du superbe sommeil d'amour pour glisser sur la route, nous faufiler entre les arbres et leurs reflets...que c'est beau tout ça, très beau, merci.

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires a été activée. Les commentaires ne seront publiés qu'après approbation de l'auteur de ce blog.

Publications les plus consultėes cette année