Voilà,
j'ai récemment appris dans l'ouvrage de Laurent Chollet " l'insurrection situationniste" que le 10 mai 1968 après avoir découvert un beau sable jaune en dépavant la rue Gay-Lussac c'est un dénommé Killian Fritsch qui a inscrit sur un beau mur blanc ces quelques mots passés à la postérité "Sous les pavés la plage". Deux ans plus tard il s'est jeté sous une rame de métro à la station Gaité. Comme quoi même dans le plus profond désespoir on peut encore faire preuve d'humour. Je n'aurai désormais plus tout à fait le même regard sur cette station où je me rends assez souvent.
Euh bonjour Kwarkito
RépondreSupprimerJe comprends pas le billet???
Il s'est jeté sous ou sur la rame du métro?!
Si à l'avenir, vous pouviez évitez de faire des fautes d'orthographes je suis plus là...
bonne et heureuse fin de journée
Jorge
Mais il semblerait que vous ayez avalé un clown Mr Jorge... Ou bien est-ce l'abus de quelque drogue euphorisante ? Quoiqu'il en soit, bonne fin de journée
Supprimerbonsoir kwarkito
Supprimerdes drogues?
euphorisantes?
Du tout!???
en revanche est ce dans vos habitudes à vous?
ATTENTION
a ce que vous allez dire!!!!
be careful!^^faites attention^^
je vous ai à l'œil
???!!!!
bonne soirée
Jorge
Merci. J'espère que ce n'est pas le mien. Au lycée on l'appelait Le Situ". Certains lui cassaient la gueule d'ailleurs. On confond aujourd'hui les seventees moyennes (le punk) et avec les seventies commençantes, c'est une grosse erreur, j'en témoigne. On ne comprend pas comment 68 et la suite ont été VIOLENTS. Grâce disons-le à Pompidou. Et parce que les armes lourdes, non. Mais les armes "légères" étaient plus courantes et admises qu'aujourd'hui... à méditer. Sinon merci à y toi pour (ce qui semble être) cette fascination du métropolitain que je partage. A lire (et à trouver) Les Métropolitaines de Dominique Autié, éd. Plasma, u rêve sur les stations désaffectées (Arsenal, Rennes...). Très chaleureusement à toi.
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