Voilà,
en écoutant la radio ce matin, où pêle-mêle — mais au fond c'est du même problème dont il s'agit — étaient évoqués, la guerre en Syrie, l'implication des Russes et des Iraniens qui soutiennent le régime de Bachar (qui a fait ses études à Londres, ne l'oublions pas) si acharné à exterminer son propre peuple, Daesch, les tensions entre la Russie et la Turquie, entre le gouvernement turc et les Kurdes, l'Arabie Saoudite (alliée aux Etats-Unis par des accords de défense) qui commet des massacres au Yémen et dont quelques oligarques par ailleurs soutiennent financièrement Daesch, les luttes croissantes entre sunnites et chiites, les réfugiés qui affluent en Europe et qui dans le fond embarrassent tout le monde, les terroristes islamistes infiltrées en Europe, j'ai eu la sensation d'être dépassé par les événements et impuissant face aux tempêtes qui se préparent sur fond de crash boursier et de désastre écologique. J'aimerais bien voir la vie plus légèrement, être capable d'optimisme, mais c'est difficile. Cependant la vie continue, on fait des projets comme si de rien n'était, il faut songer aux vacances, organiser son emploi du temps, donner des dates de disponibilité pour ceci ou cela, prendre des rendez-vous... Dehors le ciel est si bas qu'on le croirait au rez-de-chaussée comme disait Léo Ferré. Il pleut, je me souviens d'une chanson de la fin des années quatre-vingts. (Linked with weekend reflections)
There are times when I simply avoid the news for a week---It helps.
RépondreSupprimerce sont les jours de soleil qui me tiennent plus ou moins mentalement saine (de nos jours). helas, ca ne risque pas de durer, on est en Belgique ;-) quand meme.
RépondreSupprimerWonderful.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette photo ! Nice song too. I think Bill has a good idea but it's not easy to do. :-)
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