Voilà,
c'était difficile de faire comme si ça n'était pas là, de détourner son attention, "rien qu'à les voir ça fait quèqu'chose" comme disaient les Frères Jacques. Quoiqu'il en soit elles semblaient parfaitement assumées. Et puis on ne peut pas toujours photographier des mains en train de tenir des téléphones ou bien des mains accrochées à la barre, il faut bien réaliser que les mains ont elles aussi des rêves de voyages de secrètes envies de destination, des désirs de vacances.
Plus pudique que le code de carte bancaire d'une vieille dame.
RépondreSupprimerCela dit, celles-ci n'ont rien d'extraordinaire et sont même assez maladroitement présentées. C'est la barre qui fait tout évidemment. Kwarkito, je ne sais si tu partages ma fascination du métro parisien (chaque ligne a son odeur propre etc.) mais ça fait un moment, promis, que j'imagine une belle expo de tes photos-textes sur ce thème si récurrent chez toi. Et pourquoi pas ?
RépondreSupprimerAssurément callipyge vue d'ici. C'est fou comme un peu d’étymologie grecque atténue la nature forcément égrillarde d'un tel commentaire, hein ?
RépondreSupprimerBah oui c'est un peu le jeu, dire sans vraiment nommer... Comme disait Corneille "Et le désir s'accroît quand l'effet se recule"
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