Voilà,
j'ignore tout de ces deux types photographiés à l'auberge des étangs de Comelle courant Octobre. Peut-être l'un des deux conseille-t-il à l'autre un bon bouquin au cours de leur conversation. Comme promis lors d'un précédent post je continue, pêle-mêle, la liste de ceux et celles qui m'ont orienté dans mes lectures : Sophie m'a encouragé à lire "D'acier" de Silvia Avallone et "Réparer les vivants" de Mayliss de Kerangal, il y a Laurent Perroud, qui avant de partir s'installer aux États-Unis, m'avait, parce qu'il vidait sa bibliothèque, donné "Les Béatitudes bestiales de Balthasar B" de J.P Donleavy. C'est lui aussi qui m'avait fait découvrir John Irving,. "Ce qu'aimer veut dire" de Matthieu Lindon, ce fut Ariane M. (fallait-il y voir un message ?), "Gilles" de Drieu la Rochelle, c'est Manuel Flèche, "Le sang noir" ce chef d'œuvre de Louis Guilloux, ainsi que "Lourdes, lentes" écrit par André Hardellet, c'est grâce à Daniel Isoppo. Mylène Wagram, quant à elle m'a fait connaître "Banal Oubli" de Gary Victor, et aussi le génial "Pays sans chapeau" de Dany Laferrière. Grâce à Colo, j'ai trouvé "Le Chasseur d'histoires" d'Eduardo Galeano. "Epreuves, exorcismes" de Michaux, c'est Didier Flamand et son spectacle "Ecce Homo" à partir d'un poème extrait de ce recueil. Philippe Tiry fut la seule personne à me parler de Pius Servien, un philosophe difficilement trouvable aujourd'hui, mais dont j'ai lu "Science et hasard" et à propos duquel Paul Valéry a écrit un article intitulé "Le cas Servien". En ce qui concerne les livres de Jerzy Kosinski, pour qui j'ai nourri une véritable passion littéraire au début des années 80, je crois que c'est Ariane Pick. Louis-Ferdinand Céline, c'est mon ami Jean-Jacques G, — nous étions si jeunes alors —.... Nul doute que je poursuivrai cet inventaire. un de ces jours... là j'ai trop sommeil.
(Linked with weekend reflection
Relier un livre à la personne qui l'a recommandé ou offert crée des souvenirs si plaisants, merci, je note plusieurs titres en attendant qu'un de ces jours...! Bonne journée Kwarkito.
RépondreSupprimerI LOVE that picture! Absolutely!
RépondreSupprimerLa photo est épatante. Je suis curieux de savoir qui t'a fait découvrir Pessoa.
RépondreSupprimerJe crois que j'ai découvert Pessoa, en feuilletant le livre de l'intranquillité dans une librairie ou parce qu'une émission de radio en avait parlé. C'était à la fin des années 80 en tout cas...
SupprimerMerci pour la réponse, Arnaud. Et bonne journée.
SupprimerI often wonder what the topic is when I see people in deep discussion Kwarkito, I hadn't thought it may be about their literary choices before, but now I will 😉 We will never know the conversation between the two gentlemen but it is still a super reflection 💜
RépondreSupprimer