jeudi 6 janvier 2011

Paradise

Murree, Penjab (1991)
Voilà
bien des années après j'essaie de retrouver ce qui m'a incité à vouloir retenir cette image, dont sans doute je ne me souviendrais plus si je n'avais à ce moment appuyé sur le déclencheur. Le mot "paradis" sans doute. Des milliers de cinémas de par le monde doivent s'appeler ainsi. Il y a ce très beau film "cinéma paradiso".... Que le cinéma soit lié à une certaine idée du Paradis, et que l'entrée du paradis puisse n'être que cela, un modeste bâtiment de planches avec un toit en tôle ondulée, au bout d'un chemin de terre qu'il faut gravir pour y accéder, c'est cela sans doute qui m'a touché. Que l'image d'une femme plutôt laide, à mon goût, maladroitement peinte, selon mes critères, orne cette entrée, voilà aussi un autre élément qui a du retenir mon attention. Ici donc, c'est le paradis. c'est écrit.  L'image ne dit pas autre chose. Si peut-être. Elle dit aussi à quelle distance je me tiens du paradis. Que je suis incapable de m'en approcher plus. Je suis un étranger. Ici plus qu'ailleurs. (Linked with the weekend in black and white)

7 commentaires:

  1. Very interesting. So many questions about this one image.

    Visiting from BLACK AND WHITE WEEKEND.

    FRANKLY MY DEAR

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  2. A thought-provoking image. So often we search for an approximation of Paradise, and rarely find more than a momentary glimpse.

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  3. Un de mes café préferés à Paris, le Paradis, à coté de St Merri

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  4. the name made me think of another interpretation ;-).

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