Voilà,
le 29 décembre, dépité de ne pouvoir entrer à l'exposition de Chiaru Shiota au Grand Palais, j'ai traversé les jardins des Champs-Élysées pour me rendre à l’Hôtel de la Marine, place de la Concorde afin d'y visiter une exposition intitulée "La couleur parle toute les langues", rassemblant près de 80 œuvres de la collection Al Thani. Sur le chemin, à deux pas du Palais de l’Élysée où réside encore celui qui en 2017 disait "je ne veux plus voir un homme ou une femme dans la rue", je me suis autorisé cette photo. Quelques jours plus tard j'ai remarqué un détail qui m'avait échappé sur l'instant. Il rend l'image plus perturbante encore. Si on la scrute attentivement, il est possible d'imaginer une histoire.
Happy new year!!!
RépondreSupprimerFrom the disappointment at not being able to enter Chiaru Shiota's exhibition to the unexpected journey to the Hôtel de la Marine and your discovery of the "Colour speaks all languages" exhibition. It's amazing how life can take us on unexpected paths and reveal new things.
RépondreSupprimerUn détail. Chercher donc. Un sac à chaque bout du banc. Un sac de couchage pour deux corps mêlés. UNE paire de ballerines. L’autre paire… rangée, gardée aux pieds ? et qui sait, faire totalement fausse-route. Perdu !
RépondreSupprimerLa misère parle toutes les langues elle aussi, hélas....Un(e) adulte et une fillette aux ballerines dans le sac, peut-être.
RépondreSupprimerLadies shoes… It is sad when someone loses their place to stay. Most of the cities here have a homeless population. Even some of the small towns provide shelters in the winter, but they can be crowded or hard to reach. A lot of people sleep in their cars because rent is so high. Even people with jobs cannot afford to pay rent.
RépondreSupprimerÀ la façon dont sont posés les sacs et les ballerines, j'imagine que la personne qui dort n'a pas encore totalement renoncé à danser.
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