Voilà,
non loin de l'atelier que m'avait prêté cet été-là Yoshiko Chuma, une chorégraphe dont la compagnie de danse s'appelait "The school of hard knocks" — en échange je devais nourrir le chat — , se trouvait au 158, 1st Avenue, le Downtown Beirut. Ce bar disposait d’un excellent jukebox les bières n'y étaient pas chères et la musique plutôt bonne.
Le lettrage de l'enseigne était très en vogue dans les années 80. Cet oblique ascendant, je l’ai, dans des propositions d’affiches, quelquefois utilisé à la même époque. On utilisait ces feuilles en plastique sur lesquelles étaient surimprimés des lettres et des symboles que l'on décalquait ensuite sur un rhodoïd placé au dessus de l'illustration et que l'on appelait "Letraset", du nom de l'entreprise qui les fabriquait. Cette phase du travail était particulièrement pénible et chronophage et m'exaspérait souvent, surtout lorsqu'il y avait beaucoup de noms à disposer.
shared with the weekend in black and white
Sympa!
RépondreSupprimerIt looks interesting, but it seems to have seen better days :) There's a lot of graffiti below the window.
RépondreSupprimer...even in black and white, it looks like a colorful place.
RépondreSupprimerLots of character, lots of memories, striking honest black and white image!
RépondreSupprimerIt carries a sad vibe in the image.
RépondreSupprimerI hadn't thought of letraset in a very long time. One time I used it to create a fantasy selection of controls on an amplifier I built. It was over 50 years ago. I put "Start World War III" over one little button. I was the only one who thought it was funny.
RépondreSupprimerWith the cracked window and all the graffiti, this looks like it could be Beirut.
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