Voilà,
j'ai photographié ce mur il y a quelques mois sur la friche industrielle des grands voisins, où se trouvait autrefois la maternité Saint Vincent-de-Paul. Je m'y étais rendu une ou deux fois, aux urgences pédiatriques avec ma fille quand elle était petite pour une histoire de bronchiolite. Une autre vers 2009, mais je ne sais plus pourquoi, peut-être pour une entorse à la cheville. Je me souviens simplement que cette fois là,mon oncle m'avait appelé tout joyeux parce qu'il avait acheté son premier bateau, et rappelé un peu plus tard pour m'annoncer le décès de Jacques, son oncle à lui, qui était un homme merveilleux, d'humour et d'intelligence, que j'ai assez souvent visité vers la fin de sa vie et qui constituait le dernier lien avec ma famille de Marseille.
linked with monday murals
Paris est plein de choses inattendues! Cette projet (grands voisins) m'interesse beucoup. J'espere que vous partage en plus.
RépondreSupprimerbest... mae at maefood.blogspot.com
That's cool.
RépondreSupprimerA wonderful discovery Kwarkito but now the spot where you heard the sad news ✨
RépondreSupprimerOh that was a shocking translation!
RépondreSupprimer...always watch out for little green men.
RépondreSupprimerI hope that mural can bring a smile to your face despite what had happened...
RépondreSupprimerI like the image, now I will search for Kwarkito
RépondreSupprimerA nice mural linked to some sad news. My son in law and his family are from Marseille.
RépondreSupprimerThat made me smile--- But I think Bertiebo things you are an impostor with this post....:)
RépondreSupprimerSo you have a memory on this place but that has not much to do with this mural or am I wrong.
RépondreSupprimerYes, we can see it that way. But that's the principle of this blog An image calls for thoughts that go their way. As our dear Montaigne used to say, I write leaps and bounds
SupprimerEntre la petite créature verte et l'homme (ou plutôt sa représentation), il y a la grille qui se tord de douleur, qui nous parle à sa façon de la souffrance du bâtiment hospitalier. Un détail en quelque sorte symptomatique de l'état de délabrement de ce service public. Ou de l'indifférence dans lequel quelque (ir)responsable le tient. Mais je vois sans doute trop loin...
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