mercredi 23 avril 2014

Une réjouissante maxime


Voilà,
entendu il y a quelques semaines dans un spectacle qui à mon goût ne valait le détour que pour cette réjouissante maxime qui pourrait aussi bien être de Samuel Beckett 
(l'épitaphe paraît-il de Martinus Von Biberach mort en 1498).
"Je vis et je ne sais pas pour combien de temps, 
je meurs et je ne sais pas quand, 
je m'en vais je ne sais pas où, 
je m'étonne d'être joyeux". 
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6 commentaires:

  1. la vie est une aventure dont on ne sort pas vivant ! alors carpe diem, enjoy....
    le dessin est de toi ? il flotte le gars, il sait peut-être lui !

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  2. Yes... I love the picture, and I wish I'd written the thought.

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  3. La force du temps présent dans cette maxime!
    Elle est vraie depuis le jour où l'on naît mais on n'y pense qu'en vieillissant....Super dessin!

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  4. A scary face! Happy weekend, Valerie

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  5. First I love the piece of art. I really like the epitaph. You always have interesting post and I enjoy them. Thank you for joining FFO and have a nice weekend.

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