Voilà,
"La poésie de la ruine est poésie de ce qui a partiellement survécu à la destruction, tout en demeurant immergé dans l’absence : il faut que personne n’ait gardé l’image d’un monument intact. La ruine par excellence signale un culte déserté, un dieu négligé. Elle exprime l’abandon et le délaissement. Le monument ancien était un mémorial, […] il perpétuait un souvenir. Mais le souvenir a été perdu, une signification seconde lui succède, annonçant dorénavant la disparition du souvenir que le constructeur avait prétendu perpétuer dans la pierre. Sa mélancolie réside dans le fait qu’elle est devenue un monument de la signification perdue." (Jean Starobinski in "L'invention de la Liberté") linked with The weekend in black and white
Stunning detail when enlarged!
RépondreSupprimerYou sly devil--- there's a whole cinema verite in that one shot!
RépondreSupprimerWell done!
RépondreSupprimerVisiting from BLACK AND WHITE WEEKEND.
FRANKLY MY DEAR
Beautiful b&w.
RépondreSupprimerAnciennes, voire très anciennes, pierres s'élançant vers le ciel, à l'assaut d'un halo de lumière. Là réside sans doute ce sentiment de mélancolie qui depuis toujours, ou presque, me vient associée aux ruines. Subtilement, mais indéfectiblement.
RépondreSupprimerGreat B&W photo
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