Voilà,
ces jours-ci, j'oscille entre le besoin de sortir de chez moi où j'ai l'impression de rancir, et la terreur croissante que m'inspirent la rue et l'espace public. Surtout lorsque je dois me rendre à La Défense et prendre les transports en commun aux heures de grande affluence. Heureusement, il arrive parfois qu'il y ait de bonnes surprises. Il suffit d'un rien. Le graffiti aperçu par hasard, il y a quelques jours, sur un mur du sixième arrondissement de Paris, m'a séduit et ému. Je n'en connais pas l'auteur, mais il me semble parent. J'aurais pu en tracer un semblable. Sinon, je me fatigue de plus en plus de cette dépendance croissante aux machines informatiques, et des addictions et contraintes que cela entraîne, de l'aliènation qui en résulte. Je ne parviens pas à décrocher.
Tu nous manquerais tant...
RépondreSupprimerbesos.