Les cheminées de la centrale Consolidated Edison au niveau de la quinzième rue, vues depuis l’East River
kwarkito
Un blog écrit en français, avec des photos des collages des dessins, des créations digitales, des récits de rêves, des chroniques des microfictions et encore bien d'autres bizarreries... A blog written in french with photos, collages, drawings, digital paintings, dream stories, chronicles, microfictions and a few other oddities.
vendredi 21 mars 2025
Mais il y a toujours quelque chose qui m'échappe (18)
Les cheminées de la centrale Consolidated Edison au niveau de la quinzième rue, vues depuis l’East River
mercredi 19 mars 2025
Esplanade
mardi 18 mars 2025
Pêle-mêle avec duchesse et rêveur
Sinon, j'ai lu récemment avec beaucoup d'intérêt, "Lumières
aveugles" un livre de Benjamin Labatut qui évoque sur un mode romanesque le parcours de différents scientifiques du vingtième siècle. À propos du mathématicien Grothendieck il écrit
"Il en vint à croire que les rêves n’étaient pas propres à l’être
humain, mais provenaient d’une identité externe – qu’il appelait Le Rêveur –
qui les envoyait pour que nous puissions reconnaître notre véritable
identité. Il tint un registre de ses nuits pendant plus de 20 ans, "la
clé des songes," ce qui lui permis de comprendre la véritable nature du
rêveur : le rêveur n’est autre que Dieu." On a dit que Grothendieck a basculé dans la la folie et le mysticisme. Certes son hypothèse est délirante, mais bien moins cependant que le Christianisme par exemple, cette croyance absurde qu’un mort-vivant-interstellaire-juif qui était à lui-même son propre père peut nous faire vivre
éternellement. Et que si l'on mange symboliquement son corps et qu'on lui dit en pensée qu'on le reconnaît pour maître, il pourra extraire de notre âme, une force maléfique présente dans l’humanité, depuis qu’un
serpent qui parlait a convaincu, une femme conçue avec une côte humaine de
manger le fruit d’un arbre magique. Quoi qu'il en soit, c'est la lecture de ce livre, qui évoque, aussi Schrödinger, Heisenberg, Böhr et bien d'autres qui m'a stimulé dans la réalisations de nouvelles images abstraites.
*
lundi 17 mars 2025
Formes et couleurs
vendredi 14 mars 2025
Proposition 5.6
mercredi 12 mars 2025
Phare de la Coubre
lundi 10 mars 2025
Les mots se dérobent
samedi 8 mars 2025
Mais il y a toujours quelque chose qui m'échappe (17)
le sélectionneur qui a qualifié l’équipe de France de football pour la coupe du monde de 1966 en Angleterre s'appelait Henri Guérin. Malheureusement son équipe n'a pas dépassé le premier tour
Ça me revient
La merveilleuse présence de Patti Hansen en chauffeure de taxi dans le film "Et tout le monde riait" de Peter Bogdanovitch
Ça me revient
Ça me revient
Ça me revient
Ça me revient
vendredi 7 mars 2025
Église St Séverin
jeudi 6 mars 2025
Un arbre
mercredi 5 mars 2025
Réminiscences
dimanche 2 mars 2025
Ces types sont fous
Évidemment, certains vont dire qu'il y a bien pire et bien plus inquiétant ailleurs. C'est vrai, mais ici comme ailleurs, nous ne sommes pas au bout de nos surprises et de nos effrois.
Autant le dire, je me suis souvent ennuyé pendant le film. Malgré Isabelle Weingarten qui est plutôt bien, le parti pris de l’interprétation m’a déplu. Cette neutralité atone m'exaspère. Pourtant j’ai bien apprécié des œuvres comme "Au hasard, Balthazar" ou "Mouchette" ou "Pickpocket " que j’ai vus dans ma maturité.
Que cela soit clair, je ne remets pas en cause le génie de Bresson. Si de grands cinéastes que j'admire par ailleurs (Tarkovski, Scorcese, Al Hartley, Wenders, et même Fassbinder) le tiennent pour un maitre c'est qu'il doit y avoir des raisons. L'une d'elles tient peut-être au fait au fait qu'ils ne l'entendent pas dans leur langue native.
Ce qui m'a immédiatement contrarié dans "Les quatre nuits d’un rêveur", c'est l'aspect compassé, un peu précieux, la diction à la fois scolaire et bourgeoise. Oui ces corps, la façon dont ils se tiennent, dont ils sont vêtus, même dans leur "négligé", transpirent malgré eux le discours de domination. D’ailleurs c’est bien dans les milieux de la haute bourgeoisie que Bresson allait souvent chercher ses "modèles" comme il disait.
Je me souviens que pour un film, la directrice de casting, — jeune et que je connaissais suffisamment pour qu'elle me fit cet aveu — m'avait dit que le réalisateur, qui depuis a acquis une certaine notoriété, souhaitait que la scène fut jouée sur un mode bressonnien, tout en m'avouant qu'elle ne savait pas trop ce qu'il entendait par là. J'ai fait comme elle a dit, j'ai eu le rôle. Très modeste au demeurant.
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