Voilà,
un peu de neige, du soleil, un ciel bleu le froid sec et c’est comme si je me retrouvais à l’aube de ma vie. Mais tout de même, j’avance étourdi, le pas incertain en repensant à cette très belle phrase de Chris Marker dans son livre "Le Dépays" publié en 1982 et qui m'a cependant toujours paru énigmatique "le passé c'est comme l'étranger : ce n'est pas une question de distance, c'est le passage d'une frontière". Si c'est vraiment le cas, j'en ai alors franchi beaucoup de frontières, ici. Plus ou moins clandestinement. Tant de souvenirs se sont déposés dans ce jardin, depuis que je le fréquente. Et tant d'autres aussi me sont revenus, le long de ses allées sous ses frondaisons, au bord de ses fontaines.
Great quote, not quite sure I understand quite yet.
RépondreSupprimerI followed the link. Thanks for the great blogs. O and what a nice blue sky.
RépondreSupprimerVoici mon photoblog (avec quelques textes ici et là): https://momentsfrozentime.blogspot.com/
SupprimerI like the quote and the photo. Enjoy your blue skies!
RépondreSupprimerYou always give me a new perspective on things. So much sorrow to be in touch with everything in life
RépondreSupprimerAh nostalgia. Loved the quote and the photo.
RépondreSupprimerNice!
RépondreSupprimerWhat a thought-provoking quote.
RépondreSupprimerWorth a Thousand Words
I see I commented on the earlier post-- Time flies. On the other side of the border.
RépondreSupprimerBeautiful.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce billet.
RépondreSupprimerI'd like to visit France again...
RépondreSupprimerA thought provoking quote and a beautiful photo. Thank you for linking up.
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