Voilà,
pendant une grande partie de sa vie, il s'était beaucoup préoccupé de sa santé, manifestant même une propension certaine à l'hypocondrie. Puis après avoir compris que cette névrose ne lui appartenait pas, qu'elle avait été transmise par sa mère il était parvenu après bien des années à cesser de trop s'écouter, et de fréquenter les médecins pour un oui ou pour un non. C'est précisément à ce moment que la maladie s'insinua dans la vie de Jérôme Frontenac.
De toute façon, on a beau faire, ça finit par se déglinguer !
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