mardi 5 janvier 2010

Gare de campagne


Voilà
c'est juste une vague réminiscence de Tchekhov dans la campagne normande, avec cette peine immense qui ne peut se dire. Faire comme si rien n'était arrivé, alors que tout chavire.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

La modération des commentaires a été activée. Les commentaires ne seront publiés qu'après approbation de l'auteur de ce blog.

Publications les plus consultėes cette année