Voilà,
ce jour de printemps, il y avait eu cette vague inquiétude éprouvée quand on est encore au soleil et qu’on voit l’averse approcher. Dans ce paisible paysage de Bourgogne qui aurait pu paraître immuable, les oiseaux pourtant étaient moins nombreux à chanter. Et c’était comme si ces vieilles pierres survivaient encore dans un monde où la possibilité de croire semble chaque jour vouée à disparaître un peu plus. Mais la lumière, la lumière quand même, il y avait cette lumière.
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Beautiful and moody sky!
RépondreSupprimerBeautiful. Like stepping back in time!
RépondreSupprimer...you had a beautiful sky to enjoy!
RépondreSupprimerBeautiful.
RépondreSupprimerTa photo me fait penser à ce poème du catalan Antoni Calpés.
RépondreSupprimer"Apprendre du regard
contempler la lumière —
demeurer
inaltérable, comme un phare
qui maintient toujours vivant
le feu intérieur.
Avoir conscience
de n’être que
l’instant d’une infinitude.
Savoir
sans savoir."
Qu'elle fait du bien cette lumière, bonne journée.
Lovely post!
RépondreSupprimerThat scene looks like it has been there forever.
RépondreSupprimerSorry I'm late with my comments this time--- Laura's computer has been causing numerous calls to people who are difficult to understand in China and in India. Three more calls today! Oh well. But down to the business at hand: I love the picture, and I truly wish I were there. It looks like a place where I could forget Il Duce the second.
RépondreSupprimerBourgogne was beautiful, and your photo here reminds me of the lovely countryside there. Thank you for sharing at https://image-in-ing.blogspot.com/2023/12/the-beautiful-xvi-church-eglise-saint.html
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