Que ne suis-je la poussière du chemin,
les pauvres me foulant sous leurs pieds...
Que ne suis-je les fleuves qui coulent,
avec les lavandières sur ma berge...
Que ne suis-je les saules au bord du fleuve,
n'ayant que le ciel sur ma tête et l'eau à mes pieds...
Que ne suis-je l'âne du meunier,
lequel me battrait tout en ayant pour moi de l'affection...
Plutôt cela plutôt qu'être celui qui traverse l'existence
en regardant derrière soi et la peine au coeur...
Such an attractive alleyway. I like the shine on the stones.
RépondreSupprimerYes... the reflection on the stones!
RépondreSupprimerGreat shot, rather lonely to go into the alley in the evening.
RépondreSupprimergreat reflection on the stones.I like the poem as well, goes so well with the image.
RépondreSupprimerGreat composition and light!
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