Voilà
dans l'œil mort du civil gisant à terre, frémissaient encore les mirages d'un autre monde. Des insectes aux ailes froissées palpitaient sous la lumière chancelante. Quelqu'un dans la pièce à côté implorait — sans grande conviction — qu'on l'épargnât. Une voix frêle et contrefaite, presque enfantine répondit par un juron. II y eut une détonation sourde. Nous n'avions pas voulu ça, non pas vraiment. Mais cet adieu éclaté dans la chair était le tribut que semblait parfois exiger Notre Cause. Peut-être nous étions-nous engagés un peu trop à la légère. "Ça c'est du bout touchant" remarqua celui qu'on surnommait le Triton. Puis il y eut un long silence. Et tout le temps qu'il dura, vaguement songeur, la tête légèrement penchée en avant, avec l'index et le pouce de sa main gauche, le Triton le passa à se tripoter le lobe de l'oreille droite qu'il avait —je le remarquai alors — plutôt gras. première publication 10/04/2011 à 02:23
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Jolie photo. Assez mortuaire, mais jolie.
RépondreSupprimerjolie papier cadeau pour un jolie pola!
RépondreSupprimerI so love this post. You always express yourself with such fluency.
RépondreSupprimerCool photo. I can't pull up the translator so sadly I can't read what you wrote.
RépondreSupprimerA remarkable picture, and a scene from an all too possible situation. Well done.
RépondreSupprimerInteresante. La imagen y el texto no dejan indiferente
RépondreSupprimerI can't get your translator to work for me, but that is an amazing photo. Thanks for sharing this second look on the 2nd again this month.
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