Voilà,
parfois je fais ça, je parcours les vieux fichiers. Je comprends alors pourquoi je n'ai pas jeté certaines photos qui a priori auraient pu me sembler ratées. Sans doute voulais-je voir, si, à l'épreuve du temps, elles perdraient de leur attrait de leur mystère ou de leur enchantement. Il n'en est rien et longtemps après certaines continuent de m'intriguer : ainsi de ce reflet tremblé dans la vitre d'un train de banlieue, avec ces visages déformés évoquant des masques ou des fantômes. Avais-je pressenti que ce serait un jour la façon dont je percevrais pour de bon la réalité ? Avec une soudaine précipitation. (Linked with weekend reflections)
Ils m'évoquent bien plus des fantômes que des masques, mais en fait ce flou parfait me fait penser au mouvement, à la vitesse. Un chouette cliché!
RépondreSupprimerYes I do that sometimes because you can miss something the first time.
RépondreSupprimerCovid 19 has forced me to work with images from previous years--- and this is good. I find that each one is like Christmas! I find all sorts of "presents" I didn't previously see in these images.
RépondreSupprimerWith the pandemic keeping us at home, it is good to look back into the archives to rediscover the treasures hidden there. I like this image with its good distortion capturing a fleeting moment in time.
RépondreSupprimerVery moody, I like it.
RépondreSupprimerPourquoi cette photo nous touche-t-elle ? Peut-être parce qu'elle nous parle d'une possibilité d'univers tremblés où deux réalités semblent devoir s'écarter l'une de l'autre ? Par exemple deux États-Unis avec chacun son président, Monsieur Biden et Monsieur Trump. Comme nous-mêmes qui nous nous trouvons simultanément en deux endroits différents. Ainsi va l'univers.
RépondreSupprimerMatrix !
RépondreSupprimer"As-tu déjà fait un rêve qui te semblait plus vrai que la réalité? Si tu ne sortais plus de ce rêve, comment ferais-tu la différence entre le rêve et la réalité?" - Morpheus à Neo
Il en est de même avec certains objets, écrits, amitiés (suis-je dure là ?), ...
RépondreSupprimerNos fantômes nous vont si bien !