Voilà,
un reflet pris du côté de la rue Saint-Jacques, dans une devanture de café parisien, fermé au moins jusqu'à mi-janvier. C'est la reproduction d'une vieille réclame, car l'absinthe Cusenier n'existe plus aujourd'hui, et je ne suis pas certain que l'absinthe soit de nouveau autorisée à la vente en France. Je me souviens que dans la région de Perpignan, au début des années 80 du siècle dernier, on en fabriquait, bien qu'elle fût interdite à la vente en France. Cependant elle était commercialisée en Espagne. C'est dans un bar de Madrid, attenant au théâtre où j'étais venu jouer, que j'en ai goûté pour la première fois. Elle était servie pure dans des verres à Cognac. Je me rappelle que Madrid, dans les premières années de la movida, juste après la tentative de putsch du général Tejero au parlement espagnol en février 81, était, en certains endroits une ville fantasque, débordante de joie et de vitalité, et que la jeunesse y était particulièrement excentrique et délurée (Linked with Signs2 & weekend reflections)
...a vintage image of happier times. Hopefully happier time are ahead of us if you do the right things. Thanks for sharing!
RépondreSupprimerJe confirme commercialisée en France, pas si édulcorée... et bien verte.
RépondreSupprimerI want to try some...
RépondreSupprimerExcellent reflection Kwarkito. I remember tasting absinthe many years ago, has a liquorice taste if I remember rightly ✨
RépondreSupprimerFine reflection in this sign. Perhaps next year we can once again go out to restaurants. Stay safe.
RépondreSupprimerCusenier partage avec Courbet d'être né à Ornans. En Franche-Comté, où est née cette absinthe, on trouve partout des places et des rues Cusenier. A Besançon, c'est l'un de mes parkings favoris. Quant à l'absinthe vendue actuellement, on lui a retiré la molécule responsable des effets secondaires les plus terribles.
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