Voilà,
de sa fenêtre en fin d'après-midi, Luiza Douradinha avait pu apercevoir le Cardinal, l'Évêque diocésain, son coadjuteur, ses auxiliaires, et puis aussi les prêtres les archiprêtres et tous les diacres, les curés, les nombreux séminaristes visités par leurs familles et bien sûr la foule des fidèles qui à la sortie de l'office s'étaient massés sur le parvis de la cathédrale avant de s'égayer dans les rues adjacentes. Ce samedi là n'était pas un jour comme les autres pour Luiza, non, vraiment pas un jour comme les autres. Toute la journée elle avait cherché son chapelet. Impossible de remettre la main dessus. Jamais auparavant il ne lui était arrivé de l'égarer. Depuis quelques temps la mémoire parfois lui faisait défaut. Et dans ces moments là, elle se demandait si le diable n'était pas en train de prendre possession d'elle.
Me gusta la fotografía, esa vieja estructura
RépondreSupprimerque se ha ido transformando con el tiempo.
El texto me parece original, divertido.
Como todos tus textos, ofrecen una visión,
y reflexión de las cosas, interesante y creativa.
Un saludo, Ángel
I like that photo. It is telling a long story.
RépondreSupprimerツ Knipsa
Magnifique photo.
RépondreSupprimerEt ton texte...on ne peut avoir que de la tendresse pour Luiza en le lisant.
She left her rosary in the freezer, perhaps? I'm going backwards through your posts. I absolutely love that picture, and your story suggests an understanding of Catholic guilt. Wonderful!
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