Voilà,
je réalisais que, dans une réalité périphérique sûrement constituée d’un plus grand nombre de variables et de dimensions que celle-ci, dont ce rêve constituait en quelque sorte une chambre d'écho, j'étais atteint d’une maladie qui me vidait de ma propre substance. Quelque chose creusait mon corps par endroits. Une de mes fesses n'était plus qu'une gigantesque escarre purulente et sanguinolente. J'avais été en certaines surfaces, creusé, raclé.
Des bouts de chair avaient disparu. Je n'étais plus que plaies vives. Étrangement, je ne souffrais pas. Cherchant à atteindre des parties de mon corps qui n'étaient pas des membres, (car de ceux ci j'avais encore l'usage) je m'apercevais qu'elles manquaient. Soudain l'angoisse d'avoir — sans que je n'en ai de souvenir — en quelque sorte été mangé par une force inconnue, se transforma en douleur me ramenant à cette-réalité-ci. Une odeur d'ananas flottait dans l'air
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You have the spirit of Zen Buddhism monk that say similar things about their bodies
RépondreSupprimerune réalité périphérique I like that expression! Not alternate, not hidden, but peripheral.
RépondreSupprimerWhat a thought-provoking image.
RépondreSupprimerThank you for sharing at https://image-in-ing.blogspot.com/2023/01/shakshuka-love-this-dish.html
WOW! I can see this becoming the beginning of a book or movie. BRILLIANT! The painting is outstanding. Thank you for joining FFO.
RépondreSupprimerHaunting
RépondreSupprimerI like how when I look at this I see so many faces. Happy weekend.
RépondreSupprimerSo once again I come a day late and the translator is not working ... I can comment on your creation though, just not your words. So I see a bit of anger and despair in your picture ... hopefully not expressing your feelings of the moment. Hoping your are well and happy, yes?
RépondreSupprimerAndrea @ From the Sol
I am happy this has not happened to me ... yet!
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