Voilà,
j'aime
ces hasards de lecture qui scellent d'étranges correspondances. En
lisant le dernier tome du Manifeste Incertain de Frédéric Pajak, que
j'ai parfois évoqué dans ce blog, ici ou bien encore là, j'apprends
au détour d'une page que lors d'une excursion en montagne, alors sur le point
de tomber dans un ravin, il a été sauvé de la mort par un certain
Killian Fritsch qui quelques années plus tard s'est suicidé à la station
de métro Gaîté, d'ailleurs ma station la plus proche. J'en
avais parlé dans un précédent billet
puisque ce Killan Fritsch passe pour être l'auteur du célèbre slogan de
mai 68 "sous les pavés la plage". Autre coïncidence, Frédéric Pajak a
crée dans les années soixante-dix, une revue littéraire qui s'appelait
"Station-Gaieté". J'écris cela de chez moi, en écoutant une émission à la radio consacrée à Dave Brubeck. Une guirlande clignote encore, même ce n'est plus Noël. J'aimerais pouvoir sortir, m'asseoir à une terrasse chauffée et regarder passer les femmes en buvant un rhum arrangé. (linked with our world tuesday)
Happy New Year. More power to 2021 and hope the new year is kinder to all of us.
RépondreSupprimerWorth a Thousand Words
Funny--- at first I thought She looked like a Chinese soldier. Dave Brubeck grew up a couple of towns over from my childhood places. I didn't know he studied with Milhaud at Mills College in Oakland. Brubeck and Preven (in his 20's) were my mainstays in jazz in the late 50's. I wish I could be on that heated terrace as well.
RépondreSupprimerJe partage ton souhait et te souhaite une bonne année.
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