Voilà
L’arbre est une leçon de présence,
une leçon sans précédent,
où s’unissent comme en une dimension,
en un temps, un exemple différents,
les questions du souvenir
et les questions de l’oubli.
La chanson par contre est toujours
un écho de la poussière qui se lève
au lieu de la parole qui n’existe pas.
Mais la présence n’est pas la seule magie :
magie est aussi l’absence.
C’est pourquoi l’arbre et la chanson seront toujours ensemble
bien que l’hiver abatte les paroles et les feuilles
Roberto Juarroz in Poésie verticale
P.S :je vous recommande au passage d'aller voir le site de Colo Espaces, Instants dont la dernière publication offre un délicat poème de Silvana Ocampo, que j'ai eu le plaisir d'illustrer.
Shared with skywatch friday
The thick tree trunk is deviated to one side
RépondreSupprimerA unique image of a unique tree-- I love it!
RépondreSupprimerLa chanson vue comme un écho de la poussière qui se lève... si c'est pas un grand poète Juarroz !
RépondreSupprimerGreat shot.
RépondreSupprimerI love the curve in the trunk
RépondreSupprimerLovely perspective!
RépondreSupprimerBeautiful perspective
RépondreSupprimerEin bißchen Himmelsblau kann man durch die gewaltige Baumkrone erkennen
RépondreSupprimerMy sky
nice composition
RépondreSupprimerI love that perspective. I am certainly going to try it when the woods are clear of snow!
RépondreSupprimerGreat photo, I am not sure that I understand the text but it seems to make a lot of sense.
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