pendant quelques étés, le passage de l'estuaire marquait vraiment le commencement des vacances. Cette année sur la rive droite il y avait eu ce navire comme figé dans la lumière d'un petit matin augurant d'une chaude journée. Ça je m'en souviens très bien. Mais, je ne sais plus si c'est la fois où, n'ayant pas réservé d'hôtel il avait fallu dormir dans la voiture, ou lors d'un autre été. L'estuaire.... Y retournerai-je au moins ? J'aimerais pourtant bien me promener sur ses îles, y faire quelques photos. Aux beaux jours. Juste ça. Mais Paris où il fait encore si froid, comme la Prague de Kafka "est une petite mère qui ne vous lâche pas". Et puis il y a ça aussi, comme dans le refrain de "The Changeling" des Doors "I've never been so broke that I couldn't leave town"
De lugares, a veces degradados, vulgares, o hermosos, depende, logras con tus esplendidos textos y fotos, llevarnos a lugares de un tiempo sin tiempo. ¡Maravilloso!
RépondreSupprimerUn saludo, Ángel
Viens, je t'emmène...
RépondreSupprimeroui oui d'accord où tu veux
SupprimerVoilà ce que ton billet m'a suggéré:
RépondreSupprimerSe mece el barco, anclado en la isla neblinosa,
el Sol se pone, la preocupación del viajero surge.
En la vasta llanura, el cielo baja hasta los árboles,
en el río puro, la Luna se acerca al hombre.
Meng Hao-Ren
merci beaucoup pour ces vers et ce poète chinois que je ne connaissais pas. Tu es décidément une passeuse inépuisable en matière de poésie...
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