Voilà,
quelque chose insiste là, que je dois laisser venir. Je ne sais pas trop quoi penser de toute cette affaire. Je fais parfois comme si cela ne me concernait pas comme si cela n'avait pas grande importance je m'abandonne au processus advienne que pourra mais tout de même. Il faudrait peut-être que je m'aère, que j'aille faire un tour dehors. Mais il pleut. Ça giboule. Oui, oui ça giboule. On est encore en mars normal ça giboule. Je suis totalement sidéré par ces formes. Stupéfait que ça puisse exister, se reproduire presque malgré moi. Il ne faudrait pas que ça dure trop longtemps tout de même parce que sinon je vais être mûr pour la cabane-bambou. Une petite sieste alors ...Une petite sieste oui ça ne me ferait pas de mal. C'est ça dormir, et comme dit l'autre rêver peut-être...
quelque chose insiste là, que je dois laisser venir. Je ne sais pas trop quoi penser de toute cette affaire. Je fais parfois comme si cela ne me concernait pas comme si cela n'avait pas grande importance je m'abandonne au processus advienne que pourra mais tout de même. Il faudrait peut-être que je m'aère, que j'aille faire un tour dehors. Mais il pleut. Ça giboule. Oui, oui ça giboule. On est encore en mars normal ça giboule. Je suis totalement sidéré par ces formes. Stupéfait que ça puisse exister, se reproduire presque malgré moi. Il ne faudrait pas que ça dure trop longtemps tout de même parce que sinon je vais être mûr pour la cabane-bambou. Une petite sieste alors ...Une petite sieste oui ça ne me ferait pas de mal. C'est ça dormir, et comme dit l'autre rêver peut-être...
"Il y a des régions oniriques tout à fait inconnues, des abîmes marins où ne pénètre aucun rai de lumière. Et le plasma des rêves abyssaux se métamorphose instantanément dès qu'il parvient à la conscience. (...) Nous étions plongés dans des profondeurs où règne une nuit insondable, tombés jusqu'au placenta des images." (Ernst Junger cité par J-B Pontalis)