Voilà,
Je me souviens aussi de "Alice dans les villes" où Rüdiger Vogler prenait beaucoup de polaroïds et ce plan incroyable où il rentre dans un café au fond duquel se trouve un Jukebox. À côté de l'appareil et l'oreille collée contre celui-ci se tient un enfant assis sur une chaise. Ses pieds ne touchent pas le sol et battent la mesure. Il fredonne. C'est un plan fixe qui dure le temps du morceau : "On the road again"de Canned Heat .
Et bien sûr "L'Ami américain", dont l'affiche avait longtemps décoré mon salon, j'en ai déjà parlé dans le Post consacré à ce film, mais j'ai retrouvé une image. Wenders donc, mais Boujut encore, de sa voix en off dans la formidable émission "Cinémas cinémas", et lui encore une autre fois à la radio parlant de son admiration pour Chaissac, chez qui, lorsqu'il était enfant, il se rendait avec son père poète et éditeur de la revue "La Tour de Feu" (j'ai dans mon adolescence acheté des plaquettes de poètes éditées là bas). Souvenir mêlés, femmes images photos, le premier livre offert par C. avec sa délicate dédicace —dont la calligraphie si belle si ample, m'a toujours ému —"Une fois", de Wim Wenders précisément, auquel ce blog doit beaucoup, peut-être même son principe.
il y a aussi ce polaroïd qui date de fin 79 ou début 80, avec Agnès, dans l'appartement de la rue des Jonquilles où nous vivions alors ensemble, devant l'affiche dessinée par Guy Pellaert, ... J'aime beaucoup cette image d'elle.... Agnès que j'ai revue il y a peu lors de l'enterrement de son père...
Hace poco volvía a ver dos películas de Wenders, que en su día me encantaron, Paris-Texas y El Amigo Americano y siento decir que esta vez no me emocionaron, concretamente de. Paris-Texas solo salvaría la música.
RépondreSupprimerUn abrazo