Voilà,
il me faisait plutôt penser à une sorte de Roi Lear dont la démence eût été peuplée de pigeons qu'au doux St François qui, dit-on, parlait aux oiseaux. Cette complicité avec tous ces rats volants sur lesquels il semblait régner dégageait tant de plumes et de poussière que j'en conçus une vague frayeur. Un instant je craignis la contagion de quelque virus aviaire. Ou de sa folie peut-être.
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Un très beau image.
RépondreSupprimerthank you very much. It touches me a lot from you whose work is so pure and honest
SupprimerEn effet avec les rats volants, on risque la peste aviaire, la pire.
RépondreSupprimerPardonne-moi de ne pas retenir mon côté Groucho Marx, ça m'est vraiment impossible. Ce qui nous immunise certainement, c'est la gravité que tu nous offres. Ce qui fait Shakespeare n'est-il pas ce mélange magique ?
This is amazing. I love how you incorporated the birds. Thanks for sharing this for Wendy's Above Us Only Sky challenge at AJJ. And have a Merry Christmas too.
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