Un blog écrit en français, avec des photos des collages des dessins, des créations digitales, des récits de rêves, des chroniques des microfictions et encore bien d'autres bizarreries...
A blog written in french with photos, collages, drawings, digital paintings, dream stories, chronicles, microfictions and a few other oddities.
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dimanche 10 novembre 2013
Coup de blues
Voilà,
d'un coup il y eut une grande angoisse et une grande envie de pleurer
sans trop comprendre pourquoi
peut-être à cause de toute cette laideur autour insupportable soudain
Ce coup de blues, il remue dans l'intérieur la creátion va de sa main. À travers du traitement de l'image, ces chemins de fer élevés qui salissent l'horizon, perdent leur laideur et ils deviennent le scénario d'un film de Ridley Scott. Le blues nous attrape. Bon dimanche
Oui Damaso, peut-être as tu raison, mais si tu penses à Ridley Scott, (et peut-être songes tu là à Blade Runner), la vision du futur qu'il nous propose est au-delà du blues :-)... je te souhaite une bonne journée
Sur le "soudain coup de blues", qu'ajouter si on connaît, si on connaît jusqu'à la crise d'angoisse ? Juste pour aller, par exemple, de Denfert à Glacière. Sur l'aspect ferroviaire : je voulais te le transmettre à temps ce commentaire, et puis ça n'a plus marché et puis je n'ai plus eu le temps. Oui, cette trace mécanique, attirante, logique, qui sent bon même, et en même que soudain on n'a soudain pas la force de suivre. Alors tout ce qui était plus ou moins beau et rassurant devient si laid, tout à coup. C'en est même étonnant ce changement brutal, ce "bord des larmes". Je suppose qu'il y a ça aussi à Gao pour suivre une piste désertique, à Mellilla pour traverser la mer après avoir quitté les siens, ou en Croatie à la Barrière de Schengen, pour être ce monsieur silhouetté , là à droite, sur une ces photos de toi qui me donnent la chair de poule avec leur cadrage, leur côté fusain, leur côté pastel.
i know these blues....
RépondreSupprimerCe coup de blues, il remue dans l'intérieur la creátion va de sa main. À travers du traitement de l'image, ces chemins de fer élevés qui salissent l'horizon, perdent leur laideur et ils deviennent le scénario d'un film de Ridley Scott.
RépondreSupprimerLe blues nous attrape.
Bon dimanche
Oui Damaso, peut-être as tu raison, mais si tu penses à Ridley Scott, (et peut-être songes tu là à Blade Runner), la vision du futur qu'il nous propose est au-delà du blues :-)... je te souhaite une bonne journée
SupprimerI like this composition, very nice editing.
RépondreSupprimerSur le "soudain coup de blues", qu'ajouter si on connaît, si on connaît jusqu'à la crise d'angoisse ? Juste pour aller, par exemple, de Denfert à Glacière. Sur l'aspect ferroviaire : je voulais te le transmettre à temps ce commentaire, et puis ça n'a plus marché et puis je n'ai plus eu le temps. Oui, cette trace mécanique, attirante, logique, qui sent bon même, et en même que soudain on n'a soudain pas la force de suivre. Alors tout ce qui était plus ou moins beau et rassurant devient si laid, tout à coup. C'en est même étonnant ce changement brutal, ce "bord des larmes". Je suppose qu'il y a ça aussi à Gao pour suivre une piste désertique, à Mellilla pour traverser la mer après avoir quitté les siens, ou en Croatie à la Barrière de Schengen, pour être ce monsieur silhouetté , là à droite, sur une ces photos de toi qui me donnent la chair de poule avec leur cadrage, leur côté fusain, leur côté pastel.
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