dimanche 13 octobre 2013

Haunted


Voilà,
depuis quelques semaines je ne peux m'empêcher de songer avec peine à qui vit désormais des jours éprouvants dans la proximité d'un être que le malheur a foudroyé. Je voudrais pourtant ne pas avoir à y penser. Les cicatrices n'ont pas apaisé toutes les blessures. Les regrets parfois rôdent encore. Comme des spectres. De ça non plus je ne veux pas.

5 commentaires:

  1. Ta faculté d'empathie me touche, elle m'a d'ailleurs inspiré un texte ...

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  2. Réponses
    1. Oh je ne sais si je le publierai, cela ressemblerait trop à un règlement de comptes ...

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    2. je veux bien le lire tout de même (tu peux me l'envoyer sur mon adresse mail :-)

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    3. Je le ferai même si mon texte me semble nul :-) J'aime laisser mûrir les textes, parfois ils n'arrivent jamais à maturité.
      Considère le mien comme un brouillon !

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