Voilà,
il y avait eu ça aussi : comme un grand vent de plaine. Pareil à une rumeur, ce frémissement balayant les joncs. Et puis au loin, encore séduisante à cette distance, la ville. Désertes, ses larges avenues froides et humides ruisselaient cependant du morne ennui des dimanche.
¡Magnifica imagen! Un cielo poderoso los juncos bailando al viento, trasmite soledad y búsqueda de calor.
RépondreSupprimerUn saludo, Ángel
calor me dices? en cambio, era muy frío. Como lo que una imagen sin su leyenda puede ser confuso
RépondreSupprimerGrossartig diese Stimmung und dieser Kontrast zwischen Landschaft und Stadt. Gratulation!
RépondreSupprimerImage et texte magnifiques. "C'est de la poésie, n'est-ce pas, c'est comme ça que ça s'appelle ?" Ce sont vos mots que j'utilise. Vous jouez des contrastes, comme dit Walter Neiger, j'ajouerais avec une délicatesse qui n'appartient qu'à vous et qui souvent, j'ose ce mot, me bouleverse.
RépondreSupprimerOh la! Stunning almost surreal image, tres beau!
RépondreSupprimerSuperbe !! :)
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