Voilà,
elle avait l'air de l'aimer fort son indien, la petite japonaise. En tout cas de se sentir bien auprès de lui. Parfois elle s'assoupissait quelques secondes sur son épaule, puis elle relevait la tête, et c'était comme si elle le regardait avec reconnaissance. Je me demandais ce qu'il avait bien pu lui faire ou plus exactement comment. Lui, paraissait ne pas s'en rendre compte. Mais peut-être feignait-il de ne pas s'en apercevoir. Les mâles sont parfois si vaniteux. Et puis à Strasbourg St Denis, soudain son visage s'est effacé.
Magie mystérieuse des scènes entrevues, fugitives. accentuée par ces jeux de lumières et transparences des trains.
RépondreSupprimerBel ensemble photo-texte!
Bonne journée Kwarkito.
j'aime beaucoup ! l'instantané, ce que tu en fais. simple et juste. Je crois entendre le fracas de la rame.
RépondreSupprimerbonne soirée à toi.
Maravillosa foto rica en texturas y fuerza.
RépondreSupprimerUn saludo, Ángel