c'était à la fin des années soixante dix, les abattoirs de Vaugirard étaient démolis, mais il restait encore quelques boucheries chevalines aux alentours. Ce jour là vers midi, il m’a semblé apercevoir des fantômes suspendus à des crocs de bouchers. Modiano a très bien évoqué l'atmosphère des abattoirs de Vaugirard dans un de ses livres, "Des inconnues" je crois mais je ne suis plus tout à fait sûr. Comme pour certains de ses personnages tout se mélange un peu dans mon souvenir. (Linked with The weekend in black and white)
Ombres de bourreaux qui couperont des carrés de viande...
RépondreSupprimerFrissons.
Une image inquiétante, ce crochet avec les vêtements, je n'ai pas lu le livre de Modiano, mais j'imagine "Le boucher" de Chabrol de l'autre coté de la porte.
RépondreSupprimersaluts
Full of emotion. A bit grizzly.
RépondreSupprimerI haven't tread any Modiano - yet - I've got Invisible Ink sitting near the top of my to-read pile!
Fine photo, though not very pretty ;) But then, there's nothing pretty about a slaughterhouse.
RépondreSupprimerAtmospheric and creepy... Fantastic image
RépondreSupprimer...a horse butcher's shop wouldn't be popular here!
RépondreSupprimera scene from the horror movie.
RépondreSupprimerBien vu, Arnaud
RépondreSupprimerAn image that is filled with pathos.
RépondreSupprimerGreat pic
RépondreSupprimerButcher's Shops are such sad places. Needed, maybe, but sad.
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